2010'un En Son Günü...bebeksi bi yer
Günün hangi saatiydi tam net hatırlamamakla beraber evde sıkılıp biraz kahve arası iyi gelir diye düşündüğümüz bir anda kendimi işte tam bu fotografın çekildiği noktada bulduk.. hava fazla soguk olmamasına ragmen yine de çok uzun süre aynı yerde kalınamayacak kadar huzursuz ediciydi... arka planda etraf kalabalık olmasına ragmen fotografın görsel şölenine konu olan sadece şehir ışıkları ve kendini yalnız hissettiğini düşündüğüm netrac yatı olsun istedim. fena da olmadı....
Le théâtre nô ou nô (?, no?) est un des styles traditionnels de théâtre japonais venant d'une conception religieuse et aristocratique de la vie. Le nô allie des chroniques en vers à des pantomimes dansées. Arborant des costumes somptueux et des masques spécifiques (il y a 138 masques différents), les acteurs jouent essentiellement pour les shôguns et les samouraïs. Le théâtre nô est composé de drames lyriques des XIVe et XVe siècles[1], au jeu dépouillé et codifié. Ces acteurs sont accompagnés par un petit orchestre et un chœur. Leur gestuelle est stylisée autant que la parole qui semble chantée. La gestuelle est entrecoupée par les fameux miiye qu'ont représenté les graveurs d'acteurs japonais. Ce sont des arrêts prolongés dans le temps du geste et de la mimique afin d'en accroître l'intensité.Constitué fin XIIIe siècle au Japon, le nô est une forme théâtrale unissant deux traditions : les pantomimes dansées et les chroniques versifiées récitées par des bonzes errants. Le drame, dont le protagoniste est couvert d'un masque, était joué les jours de fête dans les sanctuaires. Ses acteurs, protégés par les daimyos et les shoguns, se transmettent depuis lors de père en fils les secrets de leur art. Le nô a évolué de diverses manières dans l'art populaire et aristocratique. Il formera aussi la base d'autres formes dramatiques comme le kabuki. Après que Zeami a fixé les règles du nô, le répertoire s'est figé vers la fin du XVIe siècle et nous demeure encore intact. Le nô est unique dans son charme subtil (yugen) et son utilisation de masques distinctifs. Lorsqu'ils Le théâtre nô est composé demettent le masque, les acteurs quittent symboliquement leur pour interpréter les personnages qu'ils vont incarner. Au lieu de narrer une intrigue compliquée, le théâtre nô, hautement stylisé et simplifié, développe donc une simple émotion ou une atmosphère. Fonctionnant sur le même mode que les autocaricatures, la théâtralité permet de passer à une autre interprétation de soi.
Acute pain often results from tissue damage, such as a skin burn or broken bone. Acute pain can also be associated with headaches or muscle cramps. This type of pain usually goes away as the injury heals or the cause of the pain (stimulus) is removed.
To understand acute pain, it is necessary to understand the nerves that support it. Nerve cells, or neurons, perform many functions in the body. Although their general purpose, providing an interface between the brain and the body, remains constant, their capabilities vary widely. Certain types of neurons are capable of transmitting a pain signal to the brain.
As a group, these pain-sensing neurons are called nociceptors, and virtually every surface and organ of the body is wired with them. The central part of these cells is located in the spine, and they send threadlike projections to every part of the body. Nociceptors are classified according to the stimulus that prompts them to transmit a pain signal. Thermoreceptive nociceptors are stimulated by temperatures that are potentially tissue damaging. Mechanoreceptive nociceptors respond to a pressure stimulus that may cause injury. Polymodal nociceptors are the most sensitive and can respond to temperature and pressure. Polymodal nociceptors also respond to chemicals released by the cells in the area from which the pain originates.
Nerve cell endings, or receptors, are at the front end of pain sensation. A stimulus at this part of the nociceptor unleashes a cascade of neurotransmitters (chemicals that transmit information within the nervous system) in the spine. Each neurotransmitter has a purpose. For example, substance P relays the pain message to nerves leading to the spinal cord and brain. These neurotransmitters may also stimulate nerves leading back to the site of the injury. This response prompts cells in the injured area to release chemicals that not only trigger an immune response, but also influence the intensity and duration of the pain.
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